Le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, a accusé la conseillère juridique du gouvernement de n’avoir pas encore approuvé sa demande de détruite immédiatement la maison du terroriste qui a perpétré l’attentat à Jérusalem : « Il n’était pas juste de le retarder de dix minutes »
Hidabrouth – Gaby Schneider – Ill. : shutterstock
Le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, a fait une déclaration aux médias ce soir (samedi soir) suite à la grave attaque de la nuit dernière près d’une synagogue du quartier Neve Ya’akov à Jérusalem dans laquelle sept personnes ont été assassinées.
Dans sa déclaration, Ben Gvir a durement attaqué la conseillère juridique du gouvernement, Gali Beharev Miara. Selon lui, il a reçu l’autorisation du Premier ministre Binyamin Netanyahou de détruire immédiatement la maison du terroriste, avec le soutien des forces de sécurité, et a soumis la demande au Médiateur à huit heures du matin accompagnée d’un avis du Shin Bet sur la question. : « À mon grand étonnement, jusqu’à ce moment, elle ne nous permet pas de détruire la maison. À mon avis, cela ne doit pas nuire non seulement au gouvernement mais aux citoyens de l’État d’Israël. »
« Ce n’était pas bien de le retarder de dix minutes », a ajouté Ben Gvir. « Je demande à Beharev Miara de signer la mesure maintenant et d’autoriser le scellement ce soir. »
Au nom du médiateur, il a été déclaré en réponse que « la publication d’une demande du ministre Ben Gvir qui a été rejetée par le conseiller n’est pas vraie. Comme cela a été précisé au ministre Ben Gvir par les professionnels des autorités de sécurité et du ministère de la justice, les décisions d’action du niveau politique doivent être appuyées par une infrastructure factuelle, et il doit la présenter. »
« En conséquence, il y a à peine une heure, l’achèvement des avis de sécurité a été remis au conseiller juridique du gouvernement, et ceux-ci sont en cours d’examen. La conseillère juridique du gouvernement abordera en cabinet toutes les questions qui se présenteront. Le conseiller juridique du gouvernement mettra tout en œuvre pour fournir des outils juridiques qui permettront la mise en œuvre de la politique du niveau politique. »