Un article paru dans l’hebdomadaire The Economist affirme que même si « les bombardements israéliens sur Gaza entraînent un terrible tribut, si le pouvoir du Hamas n’est pas brisé, la paix restera hors de portée ».
Be’hadré ‘Harédim – Reouven Caspi
Dans un article intitulé : « Pourquoi Israël doit-il se battre ? L’hebdomadaire respecté The Economist explique qu’un cessez-le-feu élimine toute chance de parvenir un jour à la paix entre Israël et Gaza. En sous-titre, l’auteur de l’article explique que « les bombardements israéliens sur Gaza ont un coût terrible. Mais si le pouvoir du Hamas n’est pas brisé, la paix restera hors de portée ».
L’ouverture de l’article n’indique pas sa suite. « Les forces israéliennes entrent dans un paysage d’enfer qu’elles ont eux-mêmes créé. Un bâtiment sur dix à Gaza a été détruit par l’aviation et l’artillerie israéliennes. Plus de 8 000 Palestiniens ont été tués, dont beaucoup d’enfants. Le manque de carburant et d’eau potable et de nourriture, imposée par le blocus israélien, constitue une menace croissante et prévaut sur la vie de milliers d’autres », lit-on au début de l’article qui fait des vagues.
Il affirme ensuite que le 7 octobre, le Hamas a détruit le sentiment de sécurité des citoyens israéliens. C’est précisément à cause du grand massacre et de l’humiliation des forces de sécurité et de renseignement israéliennes qu’il est nécessaire de restaurer la dissuasion de l’État d’Israël selon laquelle la prospérité et la paix, si jamais elles sont atteintes, ne viendront que de la force de l’État. C’est précisément pour cette raison qu’il n’y a pas d’autre choix que de poursuivre les combats : un cessez-le-feu conduirait au renforcement du Hamas et à la poursuite de l’instabilité régionale.