Le ministre des Affaires étrangères Eli Cohen s’est entretenu aujourd’hui avec la présidente de la Croix-Rouge, Miriana Spulirik. Au cours de leur conversation, il a clairement indiqué qu’Israël exigeait que l’organisation remplisse ses fonctions et veille à la sécurité de nos personnes enlevées à Gaza, détenues par l’organisation terroriste Hamas. Pour l’instant, il n’y a aucun progrès sur la question.
JDN
L’État d’Israël poursuit ses efforts pour obtenir des informations sur l’état de santé des personnes enlevées, le ministère des Affaires étrangères exige que l’organisation de la Croix-Rouge rende immédiatement visite aux personnes enlevées et les informe de leur état.
Aujourd’hui (mercredi), le ministre des Affaires étrangères Eli Cohen a eu un entretien avec la présidente de la Croix-Rouge, Miriana Spolirik, au cours de laquelle il a exprimé la demande d’Israël que l’organisation œuvre pour une visite de ses représentants aux personnes enlevées par le Hamas.
Outre l’exigence sans équivoque de la Croix-Rouge de rendre visite aux personnes enlevées par le Hamas, le ministre des Affaires étrangères Eli Cohen a évoqué au cours de la conversation la demande de fournir un traitement médical aux personnes enlevées qui en ont besoin. Le ministre des Affaires étrangères a catégoriquement rejeté l’approche dite « équilibrée » adoptée par l’organisation.
Le ministre des Affaires étrangères Eli Cohen a déclaré : « La Croix-Rouge n’a pas le droit d’exister si elle ne rend pas visite aux personnes enlevées et retenues en otages par l’organisation terroriste Hamas. Il s’agit d’un événement inhabituel sur la scène internationale dans lequel des enfants, des femmes et des survivants de la Shoah sont retenus captifs. La Croix-Rouge doit agir de manière décisive et d’une voix claire et avec tous les leviers de pression afin de rendre visite aux personnes enlevées le plus rapidement possible. Il est approprié que la Croix-Rouge se concentre sur la plus grande catastrophe humanitaire qui soit l’organisation terroriste Hamas agit sur Gaza et non sur l’État d’Israël, un pays qui est lié par le droit international et agit conformément à celui-ci. »