Le soldat bédouin a trompé les terroristes et les a tués

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Au cours de la lutte contre les terroristes qui ont infiltré la base, il y avait une grande peur qu’ils atteignent les chambres où se trouvaient les épouses des officiers et leurs enfants, qui séjournaient pendant la fête au quartier général de la division. L’officier de piste, le lieutenant-colonel M., a décidé de lancer une méthode de tromperie pour les dizaines de terroristes qui tentaient d’infiltrer le camp…

Be’hadré ‘Harédim – Méir Gilboa

Dans le cadre des enquêtes menées ces jours-ci par Tsahal dans la division de Gaza concernant les événements du Chabbath 7 octobre, le courage des détectives de la division devient évident.

Selon la publication de Walla, Chabbath matin, au début de l’attaque du Hamas contre la bande de Gaza, l’une des plus grandes attaques menées par le Hamas au plus profond du territoire de l’État d’Israël a eu lieu contre le « Camp Ré’im », le quartier général de la division de Gaza qui a été construite après le désengagement et qui était un symbole militaire et technologiquement avancé dans de nombreux domaines.

Au cours de la lutte contre les terroristes qui ont infiltré la base, il y avait une grande peur qu’ils atteignent les chambres où se trouvaient les épouses des officiers et leurs enfants, qui séjournaient pendant la fête au quartier général de la division. L’officier éclaireur, le lieutenant-colonel M., dont l’héroïsme a été révélé pour la première fois à Wala par les témoignages des commandants, a décidé de lancer une méthode de tromperie pour les dizaines de terroristes qui tentaient de pénétrer dans le camp.

L’un des jeunes traqueurs, qui devrait être libéré de Tsahal dans environ un mois et demi et est connu pour son courage et son professionnalisme, a enlevé sa chemise d’uniforme, est resté en tricot  blanc et a appelé les terroristes en arabe. : « Viens… viens à moi… » Lors de l’échange de tirs, il a tenté de les convaincre de se rapprocher de lui et ainsi sortir des cachettes. La supercherie a fonctionné et les terroristes, qui ont cru qu’il s’agissait de l’un d’entre eux se sont approchés du traqueur. À ce moment-là, le lieutenant-colonel M. leur a tiré dessus à bout portant et les a tués. « Cette action a sauvé de nombreuses vies », se sont félicités les policiers qui ont mené l’enquête.

3 Commentaires

  1. Aimer le klal implique de ne pas révéler de tels secrets de défense, qui une fois révélés vont renforcer la vigilence et l’entrainement de l’ennemi terroriste et donc accroitre le degré de terreur qui deviendra très difficile à contourner – ce qui génerera de plus profonds niveaux de désespoir en ceux, qui parmi nous, souffrent directement d’être exposés et soumis, par force renforcée, à ce mal rampamt, donc déjà trop bien caché.
    Eduquer l’ennemi à accroitre sa façon de se cacher ou à ne pas se révéler, devrait être froidement jugé impitoyablement comme une traitrise et donc une action à gentiment prévenir, en considérant que la révélation est superficielement innocente, bien que visceralement profondement très mal à propos, et s’oppose en réalité à la formation des soldats à la protection contre la terreur.

    Cette moralité devrait prévaloir à l’armée et dans les medias, puisque la prudence est la 1ère pierre de défense contre le Mal (Messilat Yecharim). Il ne reste donc plus, B’H, qu’à apprendre de l’opportumnité de nos erreurs, gam zu letovah, en analysant les conséquences de nos actions et, B’H, pouvoir au futur, les corriger avant de les agir (Messilat Yesharim à nouveau), pour que l’erreur bénéficie le Klal plus que d’avoir pu lui nuire, gam zu letovah.
    Y.D.

    • Très joli tout cela, mais il faudrait juste qu’une telle histoire soit courante et risque de se répéter… Nous sommes très sceptiques à cet égard…

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