L’islamisation de l’Europe prend des chemins discutables. Elle passe notamment par l’éducation.
L’islam plante sa graine dans les cerveaux les plus malléables : les enfants.
Ainsi, à Perpignan, un professeur algérien supposé enseigner l’arabe fait du prosélytisme religieux dans les écoles primaires Pasteur-Lamartine, Ferry et Duruy. Quand l’inspection académique nie évidemment tout comportement suspect, le maire, lui, tient bon. Il demande qu’on enseigne le français et non l’arabe, et certainement pas l’incitation à devenir fanatique.
En Corse, un professeur avait créé une polémique inutile et stérile, en invitant ses élèves à chanter Imagine, de John Lennon – mais en arabe.
A Guernesey, une prof du lycée Les Beaucamps est allée plus loin encore : Amber Stables a demandé à ses élèves, dans le cadre d’un travail de rédaction, d’écrire à leurs parents pour leur expliquer « pourquoi je me suis converti à l’islam » et « comment cette conversion a changé ma vie, combien j’aime mes parents et espère qu’ils accepteront mon choix. »
Précisons que l’île de Guernesey, ce n’est pas Toulouse ou Trappes : il y tout juste une douzaine d’enfants musulmans pour 65 000 habitants.
Pourtant, l’enseignante a demandé à ses élèves : « Concentrez-vous : que ressentiriez-vous si vous deviez dire cela à vos parents ? Comment réagiraient-ils ? »
Stables avait bien conscience de ce qu’elle faisait. Elle a ajouté une note pour rassurer les parents, indiquant qu’il ne s’agissait que d’un devoir de production écrite. Elle a rappelé aux enfants : « VOUS NE VOUS CONVERTISSEZ PAS VRAIMENT À L’ISLAM – Ce n’est qu’un test des connaissances acquises cette année, et de votre capacité à argumenter objectivement » (sic) !
Si vos enfants avaient été exposés à ce genre de prosélytisme pervers ?
Jean-Patrick Grumberg (Dreuz.info)