Le nazi a coupé un passage de la Tora, et après 60 ans, un détail effarant a été découvert

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Le père de l’Allemand a révélé son secret des années de la Shoah et a remis à son fils un morceau qu’il avait découpé dans le Séfer Tora – ce qui s’est avéré surprenant et effarant. Le rav Yits’hak David Grossman dans une histoire étonnante sur la providence divine.

Hidabrout

Le rav Yits’hak David Grossman, rav de Migdal Ha’émek, a révélé ces derniers jours une histoire surprenante sur un commandant nazi qui a laissé sa ceinture à son fils. Elle était enveloppée dans une partie de… rouleau de la Tora.

Il s’avère que pendant les années de ténèbres qui ont frappé le peuple juif, le commandant nazi a déchiré une partie du rouleau de la sainte Tora, pour utiliser sa peau pour l’enrouler autour de sa ceinture.

Le rav Grossman dit avoir reçu un appel téléphonique du chef du Conseil de la Basse Galilée, Moti Dotan, qui lui a dit qu’il avait rencontré une délégation de maires d’Allemagne. Lors de la visite, l’un des députés allemands s’est approché de lui et a demandé à lui parler en privé. Il lui a dit qu’il avait reçu la ceinture de son père, enveloppée dans une «carte juive». Il l’a amenée à Dotan. Le chef du conseil a décidé de le donner au rav Grossman afin de le garder dans ses affaires.

Le rav Grossman a ouvert le parchemin et a été étonné: la partie du rouleau de la Tora qui a été coupée par le commandant nazi qui ne connaissait pas la langue des saintes Écritures se trouvait dans le livre du Deutéronome, dans la paracha des malédictions qui toucheront le peuple d’Israël. « J’ai immédiatement ouvert le texte pour voir où ce commandant nazi qui ne pouvait pas lire la sainte Écriture avait effectué sa coupe. À mon grand étonnement, c’était exactement là où la Tora parle de réprimandes et de malédictions dans le livre du Deutéronome, que se passe-t-il lorsque nous ne faisons pas la volonté de D’ et n’écoutez pas ses commandements » dit le rav Grossman.

« Tellement tu seras assiégé et cerné par ton ennemi dans toutes tes villes. La plus sensible parmi vous et la plus délicate, si délicate et si sensible qu’elle n’aurait
jamais risqué de poser la plante de son pied sur la terre, verra d’un œil hostile l’homme
qu’elle serrait dans ses bras, et son fils et sa fille, jusqu’au nouveau-né sorti de ses flancs,
jusqu’aux jeunes enfants dont elle est la mère, car, dénuée de tout, elle se cachera pour les
dévorer! Telle sera la détresse où te réduira ton ennemi, t’assiégeant dans tes murs… » (Devarim/Deutéronome 28,53 et suivants).

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