Avner Netanyahou voit dans la campagne contre son père un mépris pour les outils démocratiques

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Avner Netanyahu, son of Israeli prime minister Benjamin Netanyahu seen during a court hearing regarding his request to issue a restraining order against attorney and anti-corruption activist Barak Cohen, at the Tel Aviv Magistrate's Court in Tel Aviv on August 4, 2019. Photo by Flash90 *** Local Caption *** ???? ?????? ??? ???? ?? ???? ?? ????? ??????? ?????? ??? ???

La campagne actuelle contre Netaniahou, depuis que les manifestations à plus d’un kilomètre du domicile sont interdites, repose sur un mot : « Lekh », pars – à savoir, quittez votre poste et rentrez chez vous. Le fils du Premier ministre Netanyahu, qui parle rarement sur internet de son père, mais règle ses comptes avec nombre d’intervenant sur la place publique, a écrit aujourd’hui un message cinglant contre les manifestants appelant à la démission de son père, en disant : «Il existe un moyen de changer la règle de la démocratie : de l’appeler aux urnes. Peut-être qu’après le mot « lekh », ajoutez le mot « aux urnes…»

Be’hadré ‘Haréim

Le fils du Premier ministre Benjamin Netanyahu, Avner, a écrit ce matin (lundi) un post sur les réseaux sociaux dans lequel il s’est prononcé contre les manifestants contre son père. Entre autres choses, Avner a évoqué une nouvelle initiative sur Internet dans laquelle les gens font passer le mot « Lekh », appelant le Premier ministre Netanyahu à démissionner, Avner a écrit: « Règlez votre souhait de manière démocratique et appellez-le aux urnes. « 

Au début du message, il a écrit: « Le dernier jour, je vois sur mon réseau social beaucoup d’images noires attachées à la photo de notre profil. Comme cette tendance est devenue courante ces derniers mois, ce ton qui vient nous donner des ordres, comme s’il était légitime de dire à ceux qui ont directement été choisi par le public de rentrer chez eux, comme si le vote ne comptait pas – en général, je garde cette frustration pour moi.

« Je ne vais pas leur dire « partez vous ». Nous sommes tous ici dans le même bateau et je ne l’oublie pas un instant. Chacun est soucieux de la situation, chacun à sa manière et selon son propre point de vue. Je suis aussi frustré par l’annulation de mon opinion et de celle de beaucoup d’autres gens, de tous les lieux et de tous les âges. « Lekh » ne contribue pas du tout au sentiment d’unité. Il exprime un mépris pour les règles du jeu démocratique. Protester et ne pas être d’accord est parfaitement valable et nécessaire dans une démocratie, mais il existe un seul et unique moyen de changer la règle d’une démocratie : les urnes. « 

À la fin de son discours, il a écrit: « Alors peut-être que vous ajouterez au moins le mot « aux urnes » après le mot « lekh », même si cela signifie que les gens décideront qu’il doit rester en place à leur avis ».

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