La juge Anat Braun a ordonné la suspension immédiate de la destruction de la maison du terroriste Arafat Arfaya, qui avait violé et assassiné la jeune Ori Ansbacher hy »d le 7 février dernier danד la forêt de Jérusalem.
Les travaux de destruction devaient commencer lundi matin, sur ordre du commandant de la région militaire centre, mais la juge a accédé à la requête de l’avocate Léa Tzemel (épouse de Michel Warschawski, cet ancien strasbourgeois) qui représente la famille du terroriste et qui demandait à ce que la famille du terroriste puisse comparaître devant la cour pour demander l’annulation de cette destruction.
Suivant la décision qui sera prise ensuite, on saura si l’ordonnance suspensive était effectivement temporaire ou si elle sera définitive. Mais d’ores et déjà, cette décision de la juge Braun constitue en elle-même une gifle infligée à la famille de la malheureuse victime ainsi qu’une insulte au bon sens.
Shaï Glick, directeur-général de l’organisation de défense des droits de l’homme « Betzalmo » a vivement réagi : « Même un assassinat aussi barbare ne parviendra pas à changer l’attitude des juges à la Cour suprême, qui continueront à défendre les droits de l’homme des terroristes et leurs familles. Il s’agit de l’un des attentats les plus ignobles que l’Etat d’Israël ait connus, mais la Cour suprême ne connaît pas les droits de l’homme pour Ori Ansbacher hy’’d ou d’autres citoyens israéliens, mais ceux des terroristes meurtriers, oui. L’organisation ‘Betzalmo’ oeuvrera pour que le prochain gouvernement fixe des normes précises pour une destruction immédiate des maisons des terroristes ».
Source lphinfo.com