Makara
Orit Strock en est l’exemple parfait. Une femme de valeurs, dévouée à son peuple et à son héritage, qui ne cède ni aux pressions ni aux diktats extérieurs. Dror Raphaël l’a bien résumé en la qualifiant de « poupée vaudou des médias » – une ennemie publique diabolisée par les médias de gauche dont le seul but est de la discréditer.
J’ai pu constater une partie de son travail en coulisses, notamment auprès des femmes victimes de violences sexuelles abandonnées par l’État. Derrière les distorsions de la réalité, se cache une femme qui travaille sans relâche pour la Terre d’Israël, pour les valeurs du peuple juif, et pour ces femmes abandonnées par l’État, celles qui n’ont ni voix ni soutien.
Strock ne recherche pas la gloire, elle n’a pas besoin des titres, elle agit simplement sans attendre de reconnaissance – et c’est précisément cela qui la rend menaçante pour ceux qui cherchent à contrôler le récit.
Son plus grand péché aux yeux de la gauche n’est pas son action publique. Son péché réside dans son identité. Elle est religieuse, croyante, sioniste, et mère de soldats qui luttent pour le peuple en nombre disproportionné pour une seule famille. Elle incarne tout ce que la gauche radicale abhorre et cherche à effacer – le lien aux racines, la foi en la justesse de la cause, le sens des responsabilités nationales.
C’est pourquoi ils s’acharnent sur elle avec véhémence. Plus elle reste forte, plus les campagnes de diffamation et de délégitimation s’intensifient.
Peu importe les tentatives de déformation de son image, la vérité est plus forte que n’importe quelle manipulation médiatique. Sa foi, sa fermeté et son action sont la preuve vivante *que la force des racines juives est supérieure* à toute tentative d’effacement et de silence ».