Après avoir fait mine de juger de manière équilibrée, voilà que la CPI met un terme à son simulacre de justice, pour ne conserver que les poursuites à l’encontre des dirigeants juifs coupables de défendre leurs citoyens contre la barbarie islamo-fachiste. Les grossiers masques de juges impartiaux sont tombés et avec eux se dévoilent les complices d’un pseudo droit international. Soutenue par ceux qui méprisent la démocratie chez eux comme la France, ou d’autres régimes occidentaux en voie de disparition, sous l’effet du réveil de leur population, cette cour vit ses derniers jours. Aucune condamnation à ce jour contre les dirigeants iraniens qui ont envoyés plus de 600 engins de mort sur Israël et qui assassinent à tours de bras en Iran, rien contre le Hamas, le Hezbollah, les Houthis. Dans cette cour, transformé en théâtre de marionnettes, le spectacle ne connait qu’un seul accusé : Israël.
La Cour pénale internationale de La Haye abandonne les poursuites judiciaires contre Muhammad Deif
La CPI a annoncé l’annulation du mandat d’arrêt et de toutes les poursuites judiciaires contre l’ancien chef de l’aile militaire du Hamas. Selon l’annonce de la Cour, les documents reçus par la Cour ce mois-ci confirment la mort de Deif, et par conséquent les poursuites ont été annulées. Il a été décidé que s’il s’avère que Deif est vivant, les poursuites reprendront immédiatement. Cela signifie que les poursuites judiciaires ne sont actuellement menées devant la Cour que contre de hauts responsables israéliens.
La Cour pénale internationale de La Haye a annoncé hier (mercredi) l’annulation des poursuites judiciaires contre l’ancien commandant de la branche militaire du Hamas, Muhammad Deif. Le tribunal a reçu ces dernières semaines de nouveaux documents confirmant la mort de Deif, notamment un certificat de décès délivré par le Hamas. Pour cette raison, le mandat d’arrêt contre lui a également été annulé. En conséquence, les poursuites judiciaires ne visent désormais que de hauts responsables israéliens, notamment des mandats d’arrêt internationaux contre le Premier ministre Netanyahou et l’ancien ministre de la Défense Galant.
En septembre, l’État d’Israël a déposé une objection formelle à la compétence de la Cour pénale internationale de La Haye, ainsi qu’à la légalité de la demande du procureur d’émettre des mandats d’arrêt contre Netanyahou et Galant. Israël a précisé que, selon lui, la Cour n’avait aucune compétence sur l’affaire en question. Cette affirmation est fondée sur la position constante d’Israël concernant la compétence de la Cour sur le conflit israélo-palestinien.
Israël affirme que le manque d’autorité provient du fait que l’État d’Israël n’est pas membre de la Cour et que l’Autorité palestinienne n’est pas un État. En outre, les accords d’Oslo prévoient que l’Autorité palestinienne n’aura pas le pouvoir de juger les citoyens israéliens qui auraient commis des crimes sur son territoire.
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