Pourquoi l’UNRWA-HAMAS est cruciale pour le terrorisme

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Chacun est désormais conscient des dégâts causés par l’UNRWA.

440 employés de l’UNRWA font partie de la branche militaire du Hamas.

2 000 employés sont enregistrés comme membres du Hamas.

7 000 employés de l’UNRWA ont des membres de leur famille proche qui sont des terroristes du Hamas

Outre ces faits accablants pour une supposée agence humanitaire, la mise à disposition des infrastructures de l’UNRWA au profit du Hamas vient compléter l’implication de l’UNRWA dans cette entreprise terroriste ayant pour but affiché la destruction d’Israël. Enfin, la mission d’éducation a été complètement dévoyée par l’UNWRA : il ne s’agissait pas d’écoles mais de centres de dressage à la haine d’Israël et des Juifs avec des spectacles de fin d’année scolaire autour de l’enlèvement et le meurtre de soldats de Tsahal. De quoi faire rêver ces petites têtes pas blondes pour lesquelles, les seuls héros sont des terroristes avec du sang juif sur les mains.

Un tableau diabolique que l’ONU a encadré en lui apportant son plein soutien : des financements par milliards, résolutions systématiques contre Israël et cris d’orfraie à la moindre des preuves indéniables apportées par Israël. Avec une mention spéciale pour Francesca Albanese, rapporteur de l’Onu qui a déclaré que l’élimination de Sinwar était un acte « particulièrement inhumain ». Un naufrage. Pourtant ce n’est que le haut de l’iceberg.

Découvrir l’UNKRA

L’UNKRA était l’Agence des Nations Unies pour la reconstruction de la Corée à la fin de la guerre de Corée. Créée en 1950, concomitamment à la création de l’Unwra, cette agence devint opérationnelle après l’armistice en 1953. Les 3 millions de réfugiés coréens furent relocalisés en cinq ans, et l’UNKRA fermée. Alors qu’après 74 ans, l’UNRWA n’a non seulement pas trouvé de solution mais a, au contraire, contribué à créer un obstacle majeur à toute paix en conférant un statut de réfugié héréditaire aux dits palestiniens assorti du droit au retour. Les seuls réfugiés au monde à bénéficier d’un tel statut qui aboutit à ce que l’on appelle aujourd’hui, de façon erronée, « le peuple palestinien ». Peuple Unrwanien serait plus exact.

La « solution à deux Etats », prônée par les gauches multiples et diverses, qui pouvait être éventuellement envisageable jusqu’au 6 octobre est, depuis le 7 octobre, devenue obsolète. Les plus fervents soutiens de cette solution vivaient dans les Kibboutz et les Moshav du sud d’Israël le 7 octobre. Ils y ont été abominablement massacrés. Il n’est pas considéré comme politiquement correct de parler de la fin de la solution à deux Etats, pourtant le slogan « Free Palestine, from the river to the sea » en est une autre formulation : la Palestine en lieu et place d’Israël.

Imaginons

Imaginons que les personnes expulsées de leur logement en région parisienne, quelle qu’en soit la raison, soient regroupées à quelques kilomètres de Paris dans un grand campement. Puis supposons qu’un groupe quelconque les prenne en charge, leur fournisse une certaine assistance pour les habituer à cette situation et prenne également en charge l’éducation des enfants pour leur apprendre que leur maison est là-bas, que ce sont d’horribles gens qui les ont expulsés mais qu’ils ont le droit d’y revenir et que ce sera bientôt ! Ajouter des armes, de l’argent, toujours, et faisons durer cela quelques décennies. Après quelques années, n’aurions-nous pas des loups enragés, prêts à se déchaîner contre « l’occupant » ? C’est grossièrement ainsi qu’est né « le peuple palestinien ».

Une aberration encouragée et soutenue par l’ONU et la communauté internationale.

Rappelons qu’hormis les réfugiés coréens, à la fin de la Seconde Guerre Mondiale, l’Europe comptait 20 millions de réfugiés. Où sont-ils ? Ils se sont, comme tous les réfugiés du monde – sauf les « réfugiés palestiniens » – relocalisés, réinstallés, intégrés et ont redémarré une vie. Les Juifs sont les premiers à pouvoir en témoigner.

Rappel : si chaque Etat votant systématiquement à l’ONU contre Israël accueillait 30.000 palestiniens, une partie du problème aurait trouvé sa solution.

Evelyne Gougenheim

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