La frappe militaire massive menée par l’État juif contre des bases iraniennes clés pourrait s’avérer être le dernier clou dans le cercueil de la République islamique.
Par Con Coughlin – Télégraph – Tribune Juive
Le rédacteur en chef des affaires étrangères et de la défense du journal britannique “Telegraph”, Con Coughlin, affirme que la frappe militaire massive menée par l’État juif contre des bases iraniennes clés pourrait s’avérer être le dernier clou dans le cercueil de la République islamique.
Selon lui, la facilité avec laquelle les Israéliens ont pénétré le système de défense aérienne iranien n’a pas seulement démontré la supériorité militaire absolue d’Israël sur son rival iranien, mais a également révélé que malgré les milliards investis par les ayatollahs pour renforcer leurs forces militaires ces dernières décennies, le régime iranien n’est qu’un tigre de papier.
L’analyste britannique souligne que bien que l’Iran se vante régulièrement de son aspiration à détruire Israël, sa capacité à le faire est très limitée. Coughlin explique que la reconnaissance que ses forces ne sont pas à la hauteur de la puissance de feu israélienne dans un conflit direct a conduit Téhéran à adopter une politique alternative de création d’un vaste réseau terroriste à travers le Moyen-Orient.
Selon lui, des organisations comme le Hamas à Gaza, le Hezbollah au sud du Liban et les Houthis au Yémen – membres de “l’axe de la résistance” iranien – ont tous bénéficié de la générosité militaire et économique de l’Iran, dans le but explicite de constituer une menace directe pour la survie d’Israël. Cependant, comme le note Coughlin, les événements depuis l’attaque du 7 octobre ont prouvé qu’aucune de ces organisations n’a réussi à faire face à l’écrasante puissance militaire d’Israël.
L’éditeur du Telegraph décrit comment à Gaza, les Iraniens sont devenus des spectateurs impuissants pendant que Tsahal effaçait les infrastructures terroristes du Hamas, éliminait des commandants de haut rang et détruisait la majorité des 24 bataillons terroristes de l’organisation. Une image similaire, écrit-il, se dessine au Liban, où Tsahal décime l’importante infrastructure terroriste que l’Iran a développée à travers son alliance avec le Hezbollah.
Dans son analyse, Coughlin souligne que l’attaque militaire d’Israël contre l’Iran a exposé les faiblesses fondamentales du régime dans sa propre défense. Selon lui, les récentes attaques ont fait comprendre au régime de Téhéran que la supériorité militaire israélienne a atteint un tel niveau que Tsahal peut se permettre de choisir quelles cibles attaquer et lesquelles, comme les installations nucléaires et pétrolières de l’Iran, ignorer.
L’analyste britannique estime que si la réaction immédiate de Téhéran aux frappes israéliennes a été un vœu de vengeance, les dirigeants du régime sont probablement beaucoup plus préoccupés par la réaction des citoyens iraniens à l’humiliation nationale subie. Il note que alors que l’économie iranienne est en difficulté en raison des sanctions occidentales – avec une inflation de 45% l’année dernière et un chômage des jeunes d’environ 25% – de nombreux Iraniens remettent en question la sagesse des investissements du régime dans la construction d’une vaste infrastructure terroriste alors que les citoyens ordinaires ont du mal à joindre les deux bouts.
Le rédacteur en chef des affaires étrangères du Telegraph conclut que l’attaque continue d’Israël contre l’Iran et ses mandataires a certainement affecté le régime, avec des rapports faisant état d’une profonde division entre les partisans extrémistes du Guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, et l’approche plus modérée du président récemment élu, Massoud Pezeshkian. Selon lui, la compréhension tardive du régime que sa propre survie est en danger s’il ne trouve pas un moyen de mettre fin au conflit avec Israël est évidente dans la volonté de Téhéran de se rapprocher diplomatiquement de l’Arabie saoudite, son rival régional amer.
Coughlin termine en affirmant que pour Téhéran, mettre fin à l’attaque incessante d’Israël contre ses mandataires au Moyen-Orient est presque le seul espoir d’assurer la survie du régime islamique lui-même.
Beaucoup, dans la presse, tout comme Monsieur Coughlin développent un discours extrêmement modéré sur l’état de la situation de la mollahrchie en Iran et continuent sur les bases de mythes de faire des comptes rendus très optimistes et colorés de la situation, cela en égard des jeux toxiques entretenus par leurs propres gouvernements vis-à-vis de ce furoncle inqualifiable qu’est le régime mis en place à Téhéran.
Je voudrai néanmoins rétablir certaines réalités concernant le fonctionnement de cet avorton d’empire en carton pâte que l’occident a créer depuis 45 ans. Cette idylle rassemblant tous les vieux restes des idéologies nazies implantées dans toutes les institutions européennes et américaines ainsi que les inlassables vagues de soutiens occidentaux via les officines des ong et de l’onu en faveur des nouveaux nazis enturbannés. Premier mythe ; ce n’est pas l’Iran qui finance le hizbollah, mais c’est bien le hizbollah et ses innombrables filières de trafics qui financent les pasdarans et leurs arsenaux. Bibi et Poutine s’amusent comme des petits lutins à voir l’Iran casser ses tirelires pour remplir les caisses des généraux russes. Rien qu’en matières des drogues, le hizbollah représente un chiffre d’affaire qui se compte en centaines de milliards de dollars, en moyenne, le hizbollah verse annuellement, minimum 100 milliards par an aux ayatollahs, cela suffit largement pour financer les armements de l’Iran, du hizbollah au Liban et au Yémen. La bande à macron et sa clic propagandiste ne cessent de répéter que les trafics de drogues en France représentent, jusqu’à il y a 1 mois, 4 milliards et depuis 3 semaines, sont passés à 7 milliards, la réalité est, que ce marché représente plus de 70 milliards par an, la France est devenue la principale plateforme de distribution de drogues en Europe, il faut savoir que selon le FBI, le chiffre d’affaire en matière de drogues dépasse 800 milliards de dollars annuellement. Que le hizbollah « était » la principale organisation mondiale de trafics de drogues !
Comme à l’habitude, les organisations ont recours aux services séculaires de certains banquiers suisses, principalement les banquiers catholiques, ceux qui géraient les comptes des mafias du vatican, Licio Gelli, Marcinskus, Andréotti etc.
La Suisse qui a également financé arafat pour qu’il déstabilise le Liban dès 1975 afin que les banques suisses récupèrent la clientèle du golfe, 100% de la guerre civile libanaise a été instiguée par les suisses, la croix rouge (services de renseignements helvétiques) puis, avec l’onu dont le siège est à Genève, entouré de banques !