Le commandant de l’unité Egoz, le lieutenant-colonel A’, a révélé que les forces de Tsahal avaient déjà manœuvré dans le territoire libanais les jours précédant l’annonce du porte-parole de Tsahal. Cette nuit, la division 98 a lancé une attaque dans le sud du Liban. Les communications radio ont clairement indiqué l’objectif : « Il n’y aura plus de menace du Hezbollah sur nos foyers ».
Le lieutenant-colonel A’, commandant de l’unité Egoz, a déclaré ce matin que les forces de Tsahal avaient déjà mené des opérations au-delà de la frontière au cours des derniers jours, qualifiant ces actions de « signature discrète ».
Voici ce qu’il a dit à ses soldats avant qu’ils ne partent au combat : « Nous avons commencé des opérations plus discrètes, et aujourd’hui nous allons mener une manœuvre plus significative pour ramener les habitants du nord en toute sécurité dans leurs maisons. C’est une question essentielle, depuis 2006, nous n’avons pas manœuvré au Liban. Je vous fais confiance, je suis fier de vous et fier de diriger cette unité. »
Voici comment le colonel Elad Zuri, commandant de la brigade 7, a communiqué sur les ondes lors de l’opération et du franchissement de la frontière pour une action terrestre au Liban : « Il n’y aura plus de menace du Hezbollah sur nos maisons et nos communautés. Il y a quelques jours à peine, nous avons été appelés du front de Gaza pour vaincre un autre ennemi. Vous avez prouvé que la brigade 7 sait s’adapter à chaque mission et être prête pour tout ordre. Notre compétence professionnelle et notre engagement, qui se sont renforcés au cours d’une année de missions incessantes, ont fait de nous un poing de fer qui frappera tout ennemi. »
Le commandant de la brigade 7 a ajouté : « Bataillons de la brigade, je sais que vous représenterez les valeurs de la brigade dans toutes les unités de la division que vous dirigez. Vous êtes les meilleurs. Commandez en première ligne, montrez à l’ennemi qu’il a rencontré la brigade de choc. »
« Brigade 7 ici, commandant. Continuez l’héritage de Trumpeldor et des combattants de Tel Haï, détruisez les infrastructures du Hezbollah et tuez-le partout où il se cache. Nous ramènerons la paix et la sécurité aux communautés de Galilée pour un avenir meilleur pour tout le peuple d’Israël. »
« Le peuple d’Israël compte sur nous, je compte sur nous. Attaque, bonne chance, fin », a-t-il conclu l’ordre.
Les combattants de la division 98, dont les forces de la brigade des commandos, les parachutistes et les blindés de la brigade 7, se sont préparés ces dernières semaines pour une opération terrestre dans le sud du Liban, qui a commencé hier soir (lundi). Ils ont approuvé les plans et se sont entraînés dans le secteur nord.
Après plusieurs mois de manœuvres dans la bande de Gaza, où les soldats de la division ont acquis des compétences et une expérience opérationnelle, ils sont montés vers le nord et manœuvrent maintenant dans le secteur nord après avoir effectué les ajustements nécessaires pour le combat au Liban.
Ce texte, paru sur JDN, a été traduit par ChatGPT. Nous avons eu droit à une remarque, lui avons répondu, et avons eu droit à une réponse de l’IA intéressante.
ChatGPT a dit : Oui, il est tout à fait normal qu’un pays cherche à se défendre lorsque sa sécurité est menacée. Le droit à l’autodéfense est un principe fondamental reconnu dans le droit international, notamment dans la Charte des Nations Unies (article 51). Lorsqu’un pays ou ses citoyens font face à des attaques ou à des menaces graves, il est légitime pour ce pays de prendre des mesures pour protéger ses frontières, ses populations, et son intégrité territoriale.
Dans le cas d’Israël et du Liban, les tensions avec le Hezbollah, qui est une organisation armée présente au Liban, ont souvent conduit à des confrontations violentes. Le Hezbollah, tout en étant une force politique au Liban, représente aussi une menace militaire pour Israël, notamment avec des tirs de roquettes et des attaques transfrontalières. Ces menaces imposent à Israël de prendre des mesures pour garantir la sécurité de ses citoyens, en particulier ceux vivant dans les régions proches de la frontière libanaise.
Cela étant dit, toute réponse militaire doit, dans la mesure du possible, respecter les principes de proportionnalité et de distinction, c’est-à-dire éviter des dommages excessifs aux civils et aux infrastructures civiles. Le défi pour Israël, comme pour tout autre pays confronté à une telle situation, est de défendre efficacement ses citoyens tout en minimisant les impacts sur la population civile du pays voisin.
En résumé, votre préoccupation concernant la défense d’Israël face à une menace extérieure est tout à fait légitime. La sécurité des citoyens est primordiale, et chaque pays a le droit de prendre les mesures nécessaires pour y parvenir, tant que ces mesures restent conformes aux normes internationales.
Certains politiciens feraient bien d’utiliser plus souvent ChaGPT, qui là donne des idées logiques, au lieu de répéter incessamment des âneries…