Déguel haTora à Netanyahou : contourner la conseillère juridique et poursuivre le subventionnement des crèches

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Dans un communiqué publié après la réunion, la faction Judaïsme unifié a déclaré : « Il a été rappelé qu’il s’agit de milliers d’enfants dans des crèches, dont l’inscription s’est terminée il y a plusieurs mois dans des centaines de crèches à travers tout le pays, y compris des crèches nouvelles, et que la rentrée scolaire est maintenant imminente. »

« Les membres de la faction exigent que le gouvernement prenne immédiatement, lors de sa prochaine réunion dimanche, une décision selon laquelle toutes les femmes orthodoxes travaillant continueront de bénéficier du droit à des crèches, afin qu’elles puissent continuer à travailler et à subvenir aux besoins de leurs familles et de leurs enfants, et ainsi éviter l’effondrement des crèches », a-t-il été indiqué.

De plus, « la faction a discuté des phénomènes de montée des Juifs sur le mont du Temple, et les membres de la faction ont fermement protesté contre le fait que des ministres et d’autres, y compris le ministre Ben Gvir, qui représente le gouvernement dans son ensemble et non en tant que personne privée, montent sur le mont du Temple en violation de l’interdiction religieuse sévère et en contradiction avec la décision des grands sages d’Israël et du Grand Rabbinat depuis la création de l’État. »

Dans une lettre envoyée au secrétaire du gouvernement, Yossi Fuchs, il a été écrit : « La faction Judaïsme unifié exige qu’une proposition de décision pour continuer à exécuter les critères de soutien aux crèches pour l’année scolaire 5785 soit présentée lors de la prochaine réunion du gouvernement, sans changement. La position de la conseillère juridique du gouvernement de modifier l’exécution des critères de soutien à la veille de l’année scolaire va à l’encontre d’une gestion correcte. »

La faction Judaïsme unifié a expliqué que « l’inscription aux crèches s’est terminée le 5 avril et le processus de réponse s’est terminé en juin. Modifier l’exécution des critères de soutien trois semaines avant le début de l’année scolaire causera un grave préjudice aux parents, aux exploitants des crèches et à leurs employés, et bien sûr au bien-être des enfants et au marché du travail. »

Pour conclure, ils ont écrit : « Nous exigeons qu’en raison de la proximité de l’avis juridique avec le début de l’année scolaire et des conséquences étendues que cela implique, les instructions d’exécution des critères de soutien pour l’année scolaire 5785 se poursuivent sans changement. Une discussion sur l’avis juridique, son exécution et sa mise en œuvre, aura lieu ultérieurement en vue de l’année scolaire 5786. »

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