Deux policiers ont été interrogés aujourd’hui, après avoir été observés en train de se livrer à des violences contre des civils au Mont Méron. • Un troisième policier devrait être interrogé plus tard cette semaine, alors que les deux, dont un homme et une femme, sont soupçonnés de l’un d’une attaque occasionnelle et l’autre d’une attaque qui a causé des dégâts réels.
JDN
Deux policiers ont été interrogés aujourd’hui (lundi) au département d’enquête de la police, après avoir été observés en train d’agir violemment envers des civils au Mont Méron. Un troisième policier devrait être interrogé plus tard cette semaine, alors que les deux hommes, dont un policier et une policière, sont soupçonnés, l’un d’une attaque occasionnelle, et l’autre d’une attaque ayant causé de réels dégâts. Les policiers ont donc été suspendus respectivement pour trois à cinq jours.
« La Division d’Investigations du Département d’Investigations de la Police a enquêté plus tôt dans la journée avec un avertissement sur deux policiers qui ont été observés hier en train d’agir violemment envers des civils à Méron. Les suspects ont été libérés sous conditions restrictives d’éloignement de plusieurs jours des locaux de la police et de non-contact avec d’autres parties à l’affaire faisant l’objet de l’enquête. Les enquêtes se poursuivent. »
La police a déclaré qu’hier, des milliers de personnes étaient arrivées dans la montagne, même si la zone avait été déclarée zone militaire fermée, et que des centaines de contrevenants avaient commencé à affronter la police. 19 policiers ont été évacués pour traitement médical. Plusieurs manifestants ont été blessés, dont un homme de 75 ans. La police a déclaré que plus d’un millier de personnes avaient été évacuées de la montagne et que des milliers d’autres étaient bloquées sur les routes qui y mènent.
Le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, a déclaré à la chaîne B qu’il était d’accord avec le commandant des gardes-frontières pour que les trois réservistes enregistrés dans des incidents violents soient suspendus jusqu’à ce que l’enquête sur leur cas soit terminée. Dans une interview, le ministre Ben-Gvir a déclaré que la plupart des policiers ont fait un excellent travail et ont maintenu un juste équilibre dans l’application de la loi à l’égard des personnes arrivées sur les lieux sans permis et risquant leur vie.