Ruhama, la mère de Moshiko Davino, tombé lors de l’opération « Tzuk Eitan », m’a apporté ses tefilinnes.
Les tefilinnes qui l’accompagnaient tout le temps pendant les batailles sont le seul objet qui a survécu à l’enfer dans lequel Moshiko est tombé.
L’odeur de la poudre à canon persiste sur le couvercle des tefilinnes.
J’ai promis à Ruhama que je mettrais les tefilinnes pour l’élévation de l’âme de Moshiko et pour l’élévation des âmes de tous ceux qui sont tombés.
C’est ce que je fais aujourd’hui avec une sainte crainte.
Que la mémoire de nos martyrs soit bénie et gravée à jamais dans nos cœurs.
Binyamin Netanyahou