Les documents publiés en ligne montrent la tentative du Premier ministre Benjamin Netanyahou d’instaurer une paix durable et de réintégrer Gaza dans l’économie régionale grâce à de grandes infrastructures et à des investissements économiques.
Il a qualifié Gaza d’« avant-poste iranien » qui « sabote les chaînes d’approvisionnement émergentes » et « contrecarre tout espoir d’avenir pour le peuple palestinien ».
Le plan mettait également en évidence la place historiquement centrale qu’occupait Gaza sur les routes commerciales Est-Ouest, à la fois sur les routes commerciales Bagdad-Égypte et sur les routes commerciales Yémen-Europe.
Trois étapes vers le succès
La première étape, intitulée Aide humanitaire, est prévue pour durer 12 mois. Israël créera des zones de sécurité libres de tout contrôle du Hamas, en commençant par le nord et en s’étendant lentement vers le sud.
Une coalition de pays arabes (Arabie saoudite, Émirats arabes unis, Égypte, Bahreïn, Jordanie et Maroc) répartira et supervisera l’aide humanitaire dans les zones sûres.
Les Palestiniens de Gaza géreront les zones de sécurité sous la supervision des États arabes.