Le nouveau site web d’Israël, qui documente les atrocités commises par le Hamas et rappelle au monde comment la guerre de Gaza a commencé, atteint des millions de personnes au cours de la première semaine.
Le site web du gouvernement israélien montrant les horreurs du massacre perpétré par le groupe terroriste Hamas le 7 octobre dans le sud d’Israël a reçu un important trafic en ligne au cours de la semaine qui a suivi son lancement, selon les Forces de défense israéliennes (FDI).
Le site, qui contient des vidéos et des photos troublantes des crimes commis, contient un avertissement : « Une extrême discrétion est conseillée ».
L’armée israélienne a lancé ce site en partenariat avec la direction nationale de la diplomatie publique d’Israël, la veille du début de la procédure engagée par l’Afrique du Sud devant la Cour internationale de justice (CIJ) pour accuser Israël d’avoir commis un « génocide » dans la bande de Gaza.
Le contenu du site web comprend des images graphiques du déchaînement brutal du Hamas dans les villes du sud d’Israël, du festival de musique Nova et des bases militaires. Au total, les terroristes du Hamas ont tué plus de 1 200 personnes et pris plus de 240 otages au cours de leur assaut, déclenchant ainsi la guerre à Gaza.
Le site web – https://saturday-october-
seven.com/ – a déjà recueilli plus de 43 millions de vues, dont environ un demi-million ont conduit les internautes à explorer le contenu du site sur les atrocités du 7 octobre.
En réponse à cette invasion surprise, Israël a mené une campagne militaire de frappes aériennes et d’opérations terrestres contre le Hamas à Gaza, l’enclave palestinienne dirigée par le groupe terroriste, s’engageant à poursuivre le combat jusqu’à ce que tous les otages soient libérés et que le Hamas ne représente plus une menace majeure pour le peuple israélien.
Selon l’armée israélienne, les sections les plus consultées du site étaient celles consacrées aux attaques contre des villages israéliens et au festival de musique, au cours duquel les terroristes ont assassiné plus de 360 personnes.
Au-delà des meurtres et des enlèvements, des preuves de plus en plus nombreuses attestent du recours systématique du Hamas à la torture et aux violences sexuelles, y compris les viols collectifs, contre le peuple israélien.
Lancé uniquement en dehors d’Israël, le site a reçu le plus grand nombre de visiteurs des États-Unis, d’Allemagne, d’Angleterre et du Canada.
Yuval Horowitz, l’un des créateurs du site, a déclaré aux médias hébreux qu’il était essentiel de rappeler au monde comment la guerre à Gaza avait commencé.
« Nous comprenons qu’à mesure que nous nous éloignons du 7 octobre, il est encore plus important de se souvenir de ce qui a déclenché toute la guerre », a-t-il déclaré.
« C’est d’une importance cruciale pour la légitimité mondiale. Il est important de s’en faire l’écho auprès de publics qui ne comprennent pas vraiment et ne croient même pas que c’est ce qui s’est passé le 7 octobre. Grâce au site web, nous avons pu ramener les scènes du 7 octobre à la conscience et nous rendons les crimes directement accessibles au public. »
Afin de maximiser sa portée, y compris parmi les activistes pro-Hamas qui manifestent à travers l’Occident, les créateurs du site ont inséré des mots-clés tels que « Afrique du Sud » et « génocide » pour qu’il apparaisse dans leurs fils de recherche.
Moshik Aviv, chef de la Direction Nationale de la Diplomatie Publique, a déclaré qu’au moment du lancement du site, l’objectif était de « commémorer et de rappeler les terribles atrocités commises contre les citoyens d’Israël le samedi noir du 7 octobre ».
« Nous continuerons à agir pour que les citoyens du monde ne puissent pas rester indifférents au terrible massacre que nous avons vécu », a poursuivi M. Aviv.
« Il s’agit d’un outil de diplomatie publique et diplomatique important qui présente de graves crimes contre l’humanité. »
M. Aviv a ajouté que le site web aiderait Israël à se défendre contre l’affaire de l’Afrique du Sud devant la CIJ et, plus généralement, à mener à bien ses efforts de diplomatie publique.
« Ce site aidera l’État d’Israël dans sa mission de rappeler au monde que nous sommes la victime de l’événement terroriste sans précédent que nous avons vécu », a-t-il déclaré. T-OF
Troy O. Fritzhand, the Algemeiner
