Les dirigeants de Gaza préférés de Biden versent toujours des allocations mensuelles aux meurtriers. Ce dernier fait pression sur Israël pour qu’il débloque l’argent perçu en leur nom pour qu’il aille en priorité à la mafia palestinienne et aux terroristes.
Les terroristes qui ont déclenché une guerre le 7 octobre, selon la loi de l’Autorité palestinienne, seront indemnisés financièrement pour un massacre bien fait. La même AP que le président Biden veut diriger à Gaza après la guerre récompensera les familles des meurtriers avec des subventions suivies d’allocations mensuelles à vie. Cela signifie que les contribuables américains et européens contribueront à payer la note.
La poste palestinienne a déclaré à la fin de l’année que « les martyrs, les blessés et les prisonniers » – les terroristes palestiniens ou leurs familles, en d’autres termes – recevront leurs allocations de novembre à partir de samedi dernier via la Banque postale palestinienne. L’AP est en crise budgétaire, donc cette fois les paiements seront à un taux réduit de 65%, plus 14% de l’argent que les martyrs & co. sont dus sur des déductions antérieures.
Considérée par l’Occident comme un Palestinien « modéré », l’AP est inondée d’aide, y compris une grande partie des plus de 700 millions de dollars par an que l’Union européenne envoie aux Palestiniens. Le président Trump a supprimé plus de 200 millions de dollars d’aide en 2018, mais M. Biden l’a rétablie en 2021 et en a depuis envoyé davantage. Les dollars d’aide libèrent l’argent de l’Autorité palestinienne pour payer les terroristes.
L’Occident oublie que la modération est relative. Les dirigeants de la faction dominante du Fatah au sein de l’Autorité palestinienne ont salué le massacre du 7 octobre, tandis que sa branche militaire prétend y avoir participé.
Israël, qui collecte les recettes fiscales pour l’Autorité palestinienne, retient actuellement les 30 % que l’Autorité palestinienne envoie à Gaza, dirigée par le Hamas. M. Abbas a refusé d’accepter le reste et M. Biden est mécontent de l’impasse. Axios a rapporté la semaine dernière que le désaccord avait conduit à « l’une des conversations les plus difficiles et les plus « frustrantes » que Biden ait eu avec Netanyahu.
M. Biden insiste pour qu’Israël remette Gaza après la guerre à l’Autorité palestinienne, qui, promet-il, sera « revitalisée ». Mais l’argent que les États-Unis acheminent finit toujours par subventionner le terrorisme. Peut-être que le président devrait rediriger sa frustration vers l’Autorité palestinienne.
JForum.fr et WSJ