2435 infectés le dernier jour ; éclosion dans un camp d’été de ‘Habad

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Notre photo: une caricature parue dans les journaux orthodoxes, montrant Bennet face à son livre, mais titré « Ne pas savoir comment faire avec l’épidémie »…

Une augmentation alarmante du nombre de personnes gravement atteintes. Des dizaines de patients ont été découverts au camp d’été Habad qui s’est terminé ce week-end.

Kol ‘Haï

Une éclosion de l’épidémie a été enregistrée au cours du week-end au camp d’été de ‘Habad, qui a réuni plus de 600 jeunes et membres du personnel et s’est terminée vendredi. Jeudi, les membres du camp ont subi des tests corona et plusieurs dizaines ont reçu des réponses positives.

Il est à noter que tous les participants ont subi un test corona avant leur arrivée au camp d’été (y compris des personnes en convalescence et vaccinés).

Le ministère de la Santé met à jour aujourd’hui (Chabbath) qu’au cours de la dernière journée, 2 435 nouvelles personnes vérifiées ont été localisées. De plus, 98 759 ont été testés pour le virus hier.

Actuellement, 201 patients dont l’état est défini comme sévère. 31 sous assistance respiratoire. Au total, 6 473 sont décédés des suites de l’épidémie.

Opération de vaccination : 5 784 222 vaccinés en première dose. 5 373 618 vaccinateurs deuxième dose.

En attendant, le ministère de la Santé tient à préciser qu’il n’y a pas de changement dans la reconnaissance des personnes vaccinées ou guéries à l’étranger. Ceux qui arrivent en Israël et sont vaccinés ou guérissent de l’étranger, sont tenus de réaliser un examen sérologique. Un résultat positif confère la reconnaissance en tant que vacciné ou en convalescence en Israël et bénéficie d’une exemption d’isolement total.

2 Commentaires

  1. Mettons. Mais je vous serai gré de bien vouloir rééquilibrer l’information par rapport à une campagne inouïe de propagande qui joue en faveur de la société Pfizer et de ses intérêts.
    Parlez-nous des victimes de l’injection Pfizer. Des enfants en sont morts. Seulement, ces données sont soit totalement cachées du public, soit accompagnées d’un avis selon lequel ce ne serait pas à cause de cette expérience.
    Par ailleurs, même les pouvoirs qui poussent la population à être docile reconnaissent que le vaccin est inutile.
    Anecdote : Ma fille vient d’achever sa classe de quatrième (qui est, en Israël, la dernière année du collège, qui ne comporte que deux classes contre quatre en Fr.). Comme c’est généralement la coutume, les élèves ont présenté une pièce de théâtre en présence d’un public féminin, composé de mères et autres filles scolarisées, y compris des anciennes). La pièce s’est jouée trois fois (petites classes, grandes, parents et amies).
    Or, ne voilà-t-il pas que le lendemain (jeudi 14 tamouz), nous recevons des messages angoissés de la direction de l’école et de la mairie. « Dans le public, une ancienne élève de 18 ans, certes vaccinée contre le corona, a subi un test PCR qui s’est avéré positif ». On nous demande donc de faire passer un test qui devra être négatif, sans quoi il ne sera pas permis de revenir à l’école. Les personnes ayant été en contact direct avec ladite pestiférée ont été prévenues et sommées de se mettre en quarantaine.
    Les adolescentes ont dû faire la queue le 17 tamouz, par 35°C, certaines pendant deux heures, pour subir ce test. Néanmoins, il s’est avéré après coup que la soumission n’a pas été totale, et que beaucoup n’ont pas été se faire tester. Inutile de préciser que lundi, c’était la consternation. D’autant que les diplômes devaient être délivrés le mardi. Les autorités se sont montrées conciliantes et ont accepté les élèves.
    Soit. Eh bien figurez-vous que le maire en personne continue de pousser la population, et notamment celle des enfants (12-15) ans, à se faire inoculer le poison. A quelle logique obéit-il?

    Chavoua Tov.

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